Mais où en est donc le développement du rpg après huit mois ? A vrai dire… Pas beaucoup plus loin !
Pourquoi ? Parce qu’en parcourant les projets du genre sur le forum oniromancie (rpg maker FR maintenant), j’ai vu des personnes qui composaient les musiques de leurs jeux et l’envie m’est donc venue de m’y essayer. C’est tellement cool de voir des créateurs qui travaillent leurs projets de A à Z, patiemment.
Le hic ? Je n’ai jamais fait de musique de ma vie. Du coup, on m’a offert un clavier arrangeur et je commence par apprendre la musique. Autant dire que la composition, c’est pas pour tout de suite ! Et donc je passe une partie de mon temps à faire du piano plutôt qu’à bosser sur le logiciel !
Pour autant, je continue à créer les cartes les unes après les autres à mon rythme. De toute façon, c’est un projet de longue haleine vu le nombre de choses à faire pour fabriquer un jeu.
Quelques petites photos :
Ici, nous avons une dame qui cherche désespérément de l’aide pour son mari qui s’est fait mordre par un rag.
Et là, c’en est deux autres qui bloquent notre héroïne dans une grotte.
Le système de combat du jeu est prévu pour fonctionner comme un « art martial ». Des compétences martiales sont utilisées pour maîtriser le rythme du combat et il sera donc essentiel d’utiliser à bon escient les points de technique nécessaires à leur utilisation pour ne pas tomber en panne au mauvais moment sachant que les recharger vous fera perdre un ou plusieurs précieux tours.
Une image plus globale d’une carte directement sur l’éditeur.
Comme vous le savez, j’ai acquis récemment le logiciel rpg maker MZ qui permet de créer de petits jeux vidéos de type RPG. Suite à quoi je me suis pris à bidouiller dessus pendant de longues heures.
Le côté que j’adore ? Pouvoir faire de tout. Fabriquer des cartes, écrire du scénario, tester et équilibrer les combats, composer les musiques, retoucher des calques. C’est très varié et donc très stimulant comme activité !
Vue de la base de données RPG Maker
Une vue en jeu
Une nouvelle collection
C’est ainsi que m’est venue l’idée d’une nouvelle collection de Mythes Galinéens. Celle que j’écris actuellement s’intitule commandos vertueux et traite des escouades spéciales de l’ordre vertueux. Un corps militaire bien particulier.
L’idée serait ici de s’intéresser aux peuples goupils qui vivent à l’ouest du continent Galinéen ainsi qu’à leur art martial. La collection se nommerait donc « La voie du Var’maï » et serait adaptée au travers d’un jeu vidéo RPG Maker.
MAIS. Il y’a un mais.
C’est un travail démentiel !
Donc rien n’indique que ce projet se terminera un jour. Mais j’avais quand même envie de vous en parler car c’est intéressant de créer un jeu et plutôt amusant.
Jaquette de présentation du projet « La voie du Var’maï »
En attendant, les heures défilent au grès des musiques du village que je suis en train de remplir et des cris de douleurs des ennemis que je configure et tue en boucle !
Je ne manquerais pas de vous partager régulièrement des captures d’écran !
Salut tout le monde. Aujourd’hui, c’est d’un jeu dont je vais vous parler.
Sorti très récemment, j’ai déjà passé de nombreuses heures dessus et ça me fait très plaisir de vous le faire découvrir. Il s’agit de Starfield.
La trame
Commençons par la trame. le jeu nous place dans la peau d’un mineur de l’espace embauché par une entreprise de minage en milieu pas très accueillant et nous découvrons fortuitement un jour un alliage aux propriétés étranges. Suite à cette découverte, une faction nommée Constellation nous contacte pour les aider à chercher d’autres fragments de cet alliage à travers l’univers. Jusqu’ici rien d’extraordinaire si ce n’est que la mise en scène nous plonge directement dans l’intrigue du jeu quand même.
Une fois la quête principale lancée, nous voici livrés à nous-même comme dans la plupart des jeux développés par Bethesda. Où aller en premier ? La suite des évènements dépendra intégralement de nos choix. Allons nous devenir un justicier de l’espace ? Un explorateur qui évite au maximum les ennuis ? Un pirate qui les cherche justement ?
Le jeu nous pousse à rencontrer de nombreux personnages plus ou moins fréquentables que nous pourrons aider dans leurs sombres entreprises, empêcher de nuire ou encore descendre en toute simplicité.
Les fonctionnalités
Pour se promener de galaxie en galaxie, nous nous retrouvons équipés d’un vaisseau, dont on peut modifier l’équipage. Ces membres pourront également être assignés à des avant postes que l’on peut construire sur les planètes avec des possibilités de personnalisations limitées mais quand même déjà bien suffisantes. On sera au niveau de celles d’un fallout 4 pour la comparaison avec ce petit ajout qu’elles peuvent communiquer entre elles et qu’il est possible d’y installer des terminaux pour récupérer des missions ce qui évite des déplacements inutiles.
Mais le plus cool au niveau des vaisseaux, c’est qu’on peut vraiment créer des tas de merde volants tout juste bons à trimbaler du bazar tout comme on peut créer de très rapides vaisseaux uniquement destinés au transport ou au combat. Et ces vaisseaux sont personnalisables à 100% ! Sachant que la taille maximale des vaisseaux est impressionnante. Bref, le rêve de tout joueur fan de Bethesda est exaucé. Créer son propre véhicule.
Pour ce qui est des missions secondaires, je n’en suis pas très loin dans le jeu mais j’en ai déjà pris plein les mirettes avec des conflits avec des personnes haut placées, des rades angoissants et des batailles à la expandables. Les thèmes sont variés et pas redondants.
Critiques du jeu
Les points forts du jeu tout type de jeu confondu :
– Immersion totale dans la vie d’un aventurier spatial,
– Très importante quantité de contenu et variée avec ça,
– Difficulté bien proportionnée,
– Malgré des mécaniques connues pour les crafts, les bases etc on n’a pas l’impression de jouer à la énième copie de tel ou tel jeu !
Les super nouveautés du jeu du point de vue d’u Bethesda fan:
– Le système de crochetage est incroyablement plus chouette car il s’agit d’un vrai casse tête,
– Se déplacer en gravité légère avec un jetpack frôle le rêve,
– Comme toujours, un réel succès dans l’invention de nouvelles compétences dans l’arbre des talents à chaque opus avec un même type de gameplay, on le redécouvre quand même surtout là avec tout le panel qui sert à optimiser le vaisseau,
– Créer son vaisseau de A à Z
– Le nombre incroyable de planètes et la mécanique d’astroportation qui aide à visiter tout dans le bon ordre,
– Très grosse quantité d’armes portatives et de vaisseau qui ont vraiment toutes leurs styles.
Les petits moins tout de même pour finir :
– Certains lieux sont littéralement copiés d’une planète à une autre. non pas que ça me dérange de faire deux fois le même lieu mais c’est très déstabilisant moi qui ait l’habitude de mémoriser tous les endroits visités dans ces jeux. Ce qui me perd complètement sur qu’est ce qui est où.
– Bugthesda n’a pas acquis son surnom par hasard. Pour autant, aucun bug bloquant ormis une fois où je n’ai pas pris un item dans un vaisseau et où je ne pouvais plus y retourner mais bon j’ai rechargé la partie, pris l’item et repris la route Mais c’est pas rare d’avoir des incohérences, des trucs bizarres autour de soi et des bugs de son.
– L’équilibrage de certaines compétences qui sont un peu là pour décorer comme dans tous les jeux bethesda. Y’a les trucs vraiment utiles que tout le monde prend et certains qu’à mon avis personne n’a jamais pris,
– Intrigue peut être un peu légère sur l’histoire principale. A voir.
Je ne me prononcerais pas sur les graphismes car je suis pas très exigeant là dessus donc quelque chose que je trouve beau peut sembler à beaucoup de personnes bien laid par rapport à ce qui se fait actuellement sur d’autres jeux.
Voilà. Ce n’est qu’un très bref aperçu du jeu mais je trouve dommage que de la mauvaise publicité, comme tous les jeux Bethesda, lui soit faite alors que clairement on sent que le studio s’est donné pour sortir ce jeu à l’heure où des jeux sortent à moitié finis ou avec quelques modifications mineures par rapport à leurs précédents opus… ! Et inclus dans le game pass avec ça.
Notre histoire se passe au fond du métro Moscovite où, suite à une guerre nucléaire, le taux de radiation est suffisamment peu élevé pour permettre à des tribus de survivre dans les différentes stations de métro. Des clans se sont formés au sein de ces correspondances et une organisation s’est installée entre celles-ci pour continuer d’exister tant bien que mal.
C’est donc au travers de ce triste décor qu’évoluent nos protagonistes. Le récit nous montre ce que deviendrait la société humaine si elle venait à devoir se confiner plusieurs mètres sous terre.
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Mon avis global :
J’ai adoré cette trilogie que j’ai écouté en livre audio durant ces derniers mois. L’auteur vient dans ces trois tomes creuser en profondeur ses différents personnages et faire, au travers d’un récit parsemé d’intrigues diverses et variées, une anticipation, de ce que nous deviendrions si une bombe venait à nous obliger à vivre dans des souterrains. Bon, certaines choses relèvent tout de même du fantastique !
Les récits viennent ici déformer le futur tout en prenant racine dans un passé bel et bien existant en faisant référence aux dirigeants Russes et à la guerre froide.
En bref, je ne peux que recommander aux amateurs du genre cette trilogie que je suis bien triste maintenant d’avoir fini. A aucun moment, en trois tomes, je n’ai trouvé le temps long ou n’ai trouvé que l’on tournait en rond. On est bien loin des codes habituels ce qui n’en fait pas un énième récit survivaliste lassant et mal décrit.
Je me suis senti aussi immergé qu’en jouant à Fallout disons. Mais avec en plus toute la dimensions psychologique que Dmitry Glukhovsky vient explorer de manière très détaillée et subtile.
En vous souhaitant bonne lecture si cela vous a donné envie de vous lancer dans leur écoute/lecture. Je suis également preneur de vos suggestions de lecture !
J’ai lu ça il n’y a pas longtemps et vu que j’ai adoré je me suis dit que j’allais en profiter pour vous le partager.
C’est une petite (grosse) BD bien sympathique qui retrace le chemin de Thomas Pesquet (qui repart d’ailleurs dans 20 jours !! ), de sa candidature pour devenir astronaute jusqu’à son retour de mission sur l’ISS en 2017.
J’y ai appris beaucoup de choses et l’humour de l’auteure est simplement génial. Je me suis marré à de nombreuses reprises. La bande dessinée apporte des réponses à des questions que l’on ne se serait pas forcément posé et démystifie de nombreux aspects de la vie d’astronaute. On y découvre également la coopération internationale qui a lieu sur cette station.
Le seul regret que j’y ai eu, c’est que j’aurais parfois aimé en savoir plus sur certains sujets, mais la profondeur avec laquelle sont abordés les différents aspects de la missions est plutôt équilibrée tout le long de l’ouvrage et on ne peut pas aborder un sujet si vaste et tout détailler. J’ai depuis été assouvir ma curiosité sur d’autres articles, on va donc dire que ça m’a mis un pied dedans !
Côté compréhension, tout est abordé avec une étonnante simplicité donc il n’y a pas besoin d’avoir de notions scientifiques particulières pour comprendre ce qu’il s’y passe.